Alors comment trouver le bon équilibre entre confort et légèreté ? Quels sont les vrais indispensables pour randonner et camper sans galérer ? J’ai tout testé – du bivouac improvisé en forêt au GR complet avec sac optimisé – et voici mes conseils concrets. Si tu veux encore plus d’inspiration, je te conseille d’aller jeter un œil à https://suistespieds.com : plein d’idées de micro-aventures et de bons retours terrain, c’est du solide.

1. Alléger son sac : le nerf de la guerre

Le but, c’est de rester sous les 10-12 kg sac chargé (eau et bouffe incluses). En dessous, tu voles. Au-dessus, tu souffres. Et pour ça, pas de secret : il faut traquer chaque gramme inutile. Le meilleur conseil que j’ai reçu : pèse chaque objet. Oui oui, TOUT. Une frontale, un t-shirt de rechange, même le briquet. Tu vas halluciner de ce que tu peux gagner rien qu’en changeant ton matelas mousse contre un modèle gonflable ultra-light (type Therm-a-Rest UberLite, 250 g).

Petit conseil terrain : vire les « au cas où ». Ce fameux pull que tu prends « au cas où il fait froid » alors que t’as déjà une doudoune ? Laisse-le.

2. Les 3 gros postes : tente, couchage, réchaud

C’est là que tu grignotes le plus de poids – ou que tu te ruines. Mais franchement, aujourd’hui, même sans budget délirant, tu peux t’équiper malin :

• Tente : 2 places mono-arceau autour de 1,2 kg, comme la Lanshan 2 Pro (à condition d’avoir des bâtons de rando)
• Matelas : les autogonflants c’est fini, passe au gonflable technique, confort x10 pour le même poids
• Réchaud : les modèles à alcool maison font 20g (si, vraiment), sinon un Pocket Rocket c’est 70g

Et si tu veux tenter l’expérience minimaliste, va faire un tour du côté du tarp ou du bivy. Moi j’ai testé ça une nuit dans les Cévennes – solitude totale, mais j’ai mal dormi à cause du vent… faut aimer.

3. Vêtements : la règle des 2 (ou 1…)

Tu ne fais pas un défilé de mode en pleine rando. Une tenue de jour, une de nuit (propre), et c’est marre. Perso je prends :

• 1 t-shirt mérinos (ça pue moins… longtemps)
• 1 short rando, léger et solide
• 1 polaire ou doudoune selon la saison
• 1 legging ou collant chaud pour le bivouac
• Et basta.

Pas besoin de change tous les jours. Une lessive rapide dans un torrent, ça fait le taf.

4. Nourriture et eau : optimiser sans s’affamer

Là aussi, faut penser smart. Les plats lyophilisés c’est pratique mais cher. Moi j’alterne avec :

• Semoule + soupe en sachet = le combo gagnant
• Purée déshydratée + fromage râpé
• Noix, barres, chocolat noir

Pour l’eau, paille filtrante ou filtre en poche type Sawyer Mini. Pas besoin de trimballer 3 litres si tu sais que tu croises une source toutes les deux heures.

5. Un sac à dos adapté, c’est la base

Prends pas un sac de 60L si tu veux voyager léger, tu vas le remplir. Un 40L suffit largement si tu optimises. Perso j’ai troqué mon gros Deuter contre un modèle plus épuré (40L, sans armature, 950g) et je revis.

Petit détail bête : pense à bien ajuster ton sac. Ceinture bien serrée, bretelles adaptées, et le dos respire. Crois-moi, ça change tout sur les longues distances.

6. Derniers conseils de terrain

Avant de partir sur un long trek, fais une sortie test. Genre une nuit en forêt ou sur un GR local. Tu vas vite voir ce qui te manque… ou ce qui pèse pour rien. Et n’oublie pas : tout ce que tu prends, tu le portes. À chaque pas. Toute la journée.

Un dernier truc : laisse de la place à l’imprévu. Voyager léger, c’est aussi une façon de rester libre. Moins de matos, plus de spontanéité. Et franchement, cette sensation de se dire « j’ai tout ce qu’il me faut là, sur le dos », c’est dur à battre.

D’ailleurs, il existe des tonnes de petits hôtels sympas, pas chers et bien placés pour casser le rythme, refaire le plein de confort, ou juste recharger les batteries (toi ET celles du van). Si tu veux jeter un œil, le site https://1001-hotels.com est super pratique pour ça. Ils ont une sélection bien foutue, et ça évite de tomber sur l’hôtel glauque au bord de la départementale…

Pourquoi alterner entre van et hôtel ?

Le van, c’est la liberté. Tu choisis ton spot, tu suis la météo, tu te réveilles face à un lac ou dans un coin paumé de forêt où t’entends juste les oiseaux. Mais au bout de 4 ou 5 jours, soyons honnêtes, une vraie douche chaude, un lit plat et un petit-dej qui se prépare tout seul, ça fait plaisir.

Et puis, ça permet aussi de voyager plus léger. Pas besoin de trimballer 10 litres d’eau, 3 recharges gaz et une caisse de bouffe “au cas où”. T’as ton van pour l’aventure, l’hôtel pour la récup’. Le meilleur des deux mondes, en fait.

Comment organiser un itinéraire mixte ?

Le plus simple, c’est de repérer à l’avance des zones où t’auras des spots nature cool et des petits hôtels pas loin. Genre dans les Cévennes, tu peux camper près du Mont Aigoual (il y a des coins magnifiques autour de Valleraugue), puis choper une nuit en hôtel à Florac ou Meyrueis. T’as le contraste total en 30 minutes de route.

Astuce : cale les nuits d’hôtel après les grosses randos, ou quand tu passes par une ville sympa. Pas besoin de viser un 4 étoiles. Un bon 2 étoiles avec une salle de bain qui ne fuit pas, c’est déjà le bonheur après 3 jours à dormir sur un matelas gonflable.

Budget : est-ce que ça vaut le coup ?

Tu te dis peut-être que c’est plus cher ? Pas forcément. Parce que tu vas éviter les campings trop chers, les galères de stationnement payant, ou les restos à répétition (quand t’es crevé et que t’as la flemme de cuisiner sur le réchaud).

Une nuit d’hôtel bien choisie peut même te faire économiser si elle remplace une journée de galère ou une casse de matos parce que t’étais trop crevé. Et puis, si tu t’organises bien, tu peux cibler des hôtels en semaine, quand les prix sont plus doux.

Quelques idées de mix gagnant

• Côte basque : van sur les hauteurs d’Espelette, hôtel à Saint-Jean-de-Luz pour le coucher de soleil et les restos.
• Verdon : camping sauvage au bord du lac de Sainte-Croix, puis hôtel à Moustiers-Sainte-Marie pour la douche et le resto avec vue.
• Ardèche : bivouac près de la rivière, hôtel à Vallon-Pont-d’Arc pour un peu de confort (et du réseau !).

En bref : faut pas choisir, faut jongler

La vanlife à 100%, c’est fun, mais parfois, t’en peux plus. L’hôtel tout du long ? C’est confortable, mais ça manque d’imprévu. L’alternance, c’est un équilibre parfait : un peu roots, un peu confort. Et surtout, ça rend ton road trip plus vivant, plus spontané.

Alors, t’en penses quoi ? Plutôt van puriste ou team mix & match ? Moi, j’ai choisi : la liberté avec une touche de moelleux. Et franchement, c’est ce que je recommande à tout le monde.

Premier piège : l’emplacement « vue mer »… mais à quel prix ?

Alors oui, la fameuse « vue mer » fait rêver. Mais souvent, c’est aussi l’emplacement le plus exposé. Zéro ombre, plein vent, bruit permanent des vagues (c’est sympa une nuit, moins au bout de 10), et surtout… le passage non-stop des autres campeurs qui viennent « profiter de la vue » devant ta tente. Je l’ai vécu au Grau-du-Roi une fois, j’ai tenu trois nuits.

Mon conseil : demande toujours si l’emplacement est abrité. Une petite haie ou quelques pins, ça change la vie. Et vérifie l’orientation : face à l’ouest = coucher de soleil, oui, mais aussi chaleur de plomb en fin d’aprèm.

Attention aux emplacements près des infrastructures

Quand tu réserves, la carte du camping ne montre pas toujours la proximité réelle des sanitaires, du bar ou du terrain de pétanque. Et crois-moi, avoir le bloc sanitaire à 5 mètres, ça sent bon au début (pratique, tout ça). Mais quand tu entends les chasses d’eau non-stop à 3h du mat, c’est une autre histoire.

Perso, j’évite les emplacements à moins de 30 mètres des points stratégiques. Le top, c’est souvent les zones intermédiaires : ni trop loin pour les enfants, ni trop près pour le calme.

Le piège sournois du vent de mer

On n’y pense pas toujours, surtout quand on réserve en hiver pour l’été suivant. Mais en bord de mer, le vent peut vite transformer ton séjour en galère. J’ai eu le coup à Gruissan : mistral pendant 4 jours, la tente aplatie une nuit sur deux. Une horreur.

Regarde toujours l’orientation du camping par rapport au vent dominant. Les campings avec des haies, des dunes ou une forêt derrière, c’est l’idéal. Si tu peux, appelle carrément le camping pour demander des infos précises sur l’abri au vent. Les bons gérants te diront la vérité.

Les zones inondables : le truc auquel on pense après…

Proximité de la mer = risques d’orage et de remontée d’eau. Certaines zones basses deviennent vite des pataugeoires dès qu’il tombe 20 mm en deux heures. En Vendée, en 2023, j’ai vu des campeurs évacuer en pleine nuit à cause d’une pluie d’été violente. Pas cool.

Demande toujours si l’emplacement est en hauteur ou bien drainé. Et jette un œil au sol : sable = bon drainage ; argile ou herbe trop grasse = méfiance.

Le piège des animations nocturnes

Sur le papier : soirées karaoké, spectacles pour enfants, DJ en plein air. Super. Mais quand ton emplacement est juste derrière la scène, que la sono crache jusqu’à minuit, et que tu dois lever le camp tôt le lendemain… t’as compris.

Mon astuce : vérifie le plan du camping et repère les zones « calmes » indiquées. Sinon, n’hésite pas à poser la question cash lors de la réservation : « Est-ce qu’on entend les animations depuis cet emplacement ? »

Les « emplacements XXL »… qui ne le sont pas toujours

Certains campings vendent du rêve avec des « parcelles spacieuses ». En réalité, tu poses ta tente, la voiture passe à peine et ton voisin peut tendre la main pour choper ton pain au petit dej’. Franchement, ça casse le plaisir.

Vérifie toujours la superficie exacte. Un bon emplacement pour une famille avec tente et auvent, c’est au minimum 90 à 100 m². En dessous, ça devient vite serré.

En résumé : renseigne-toi, insiste, questionne !

Le secret, c’est de ne pas se contenter de la réservation en ligne. Prends ton téléphone, appelle le camping, pose toutes les questions qui te passent par la tête. Orientation, ombre, bruit, vent, sol… Ce sont ces petits détails qui font la différence entre des vacances de rêve et deux semaines à pester contre ton choix.

Et toi, t’as déjà eu des galères d’emplacement en bord de mer ? Ou peut-être des bonnes surprises ? Partage tes anecdotes, ça pourra en aider plus d’un avant de réserver !

Déjà, si vous n’avez pas envie de vous prendre la tête avec la voiture ou que vous arrivez en train ou en avion, pensez aux solutions de transport local. J’ai découvert récemment https://provence-taxi-tourisme.com, super pratique pour bouger facilement entre les spots sans galérer à chercher une place de parking (et en Provence, ça peut vite devenir un cauchemar en été…).

1. Le Luberon : camping au cœur des villages perchés

Bon, le Luberon, c’est un classique. Mais y’a une raison : c’est magnifique. Gordes, Roussillon, Lourmarin… vous voyez le tableau. Si vous campez du côté d’Apt ou de Bonnieux, vous êtes pile au milieu des plus beaux coins. Perso, j’ai un faible pour le camping municipal de Bonnieux : simple, propre, pas cher, et une vue sur les collines au lever du soleil qui vaut largement certains hôtels hors de prix du coin.

2. Les Gorges du Verdon : version nature XXL

Vous cherchez du grandiose ? Filez au Verdon. Les gorges, c’est vraiment impressionnant. Camping sous la tente ou en van du côté de Moustiers-Sainte-Marie ou Castellane, et vous avez tout sous la main : rando, kayak, baignade, parapente si vous avez le cran… Par contre, réservez tôt en haute saison, ça se remplit à une vitesse folle.

3. La Camargue sauvage : déconnexion totale

Ambiance totalement différente ici. Les flamants roses, les chevaux blancs, les plages immenses des Saintes-Maries-de-la-Mer… franchement, ça fait toujours son effet. Les campings sont souvent très accessibles, et certains spots plus petits autour d’Aigues-Mortes permettent d’éviter la foule. Prévoyez l’anti-moustique, par contre. Sérieusement.

4. Le pays d’Aix : entre ville et nature

Si vous voulez mixer city break et nature, Aix-en-Provence est une pépite. Autour de la Sainte-Victoire, il y a quelques campings bien placés, comme celui du Tholonet, super tranquille. Vous pouvez passer la journée à flâner dans le centre historique, bouquiner sous les platanes du Cours Mirabeau, puis rentrer au calme sous la tente le soir. Le top du compromis.

5. Les Alpilles : version carte postale

Ce coin, c’est un peu le résumé de la Provence de carte postale : champs d’oliviers, cyprès, petites routes qui serpentent. Saint-Rémy-de-Provence, Les Baux-de-Provence… tout est à portée. Les campings y sont souvent un peu plus chics (et un poil plus chers), mais franchement, pour un week-end, ça se tente. Les marchés de producteurs le matin, c’est un régal.

6. Bonus express : le lac de Sainte-Croix

Je glisse ça en bonus parce que franchement, le lac de Sainte-Croix, c’est dingue. Eau turquoise, paddle, petites criques… et plusieurs campings avec accès direct à l’eau. C’est un vrai plan chill à 2h30 de Marseille ou Avignon selon d’où vous partez. En amoureux ou en famille, c’est juste parfait.

Prêt à boucler le sac ?

Voilà quelques idées concrètes pour partir respirer le grand air en Provence sans faire péter les kilomètres. Tente, van ou camping-car, chacun son délire. L’essentiel, c’est de profiter du soleil, des cigales et de ces paysages qu’on ne se lasse jamais de redécouvrir.

Bien choisir son sac de couchage : la base de la base

Franchement, c’est là que tout se joue. Le sac de couchage, c’est ton meilleur allié contre le froid. Pas besoin de viser le modèle pour expéditions polaires, mais faut quand même du sérieux. Pour le camping en montagne, visez un sac avec une température de confort entre 0°C et -5°C. Perso, j’utilise un modèle en duvet (même si c’est plus cher), parce que c’est léger et super isolant. Mais attention : le duvet n’aime pas l’humidité. Si ton spot est humide, un sac synthétique peut être plus sûr.

Petit conseil d’ami : regarde bien la différence entre température de confort et température extrême sur l’étiquette. L’extrême, c’est juste pour survivre, pas pour bien dormir !

Isoler le sol : souvent négligé, mais ultra important

Le froid ne vient pas que de l’air, il remonte du sol aussi. Et même en été, la terre peut être glaciale en altitude. Alors ne zappe pas le matelas de sol. Les modèles autogonflants ou à cellules fermées font un boulot remarquable. Personnellement, j’empile parfois un tapis mousse léger sous mon matelas gonflable. Ça rajoute une barrière thermique, et franchement, ça change tout.

Si tu pars sur plusieurs nuits, ça vaut aussi le coup de vérifier la valeur R (indice d’isolation thermique) de ton matelas. Au-dessus de 4,5 pour la montagne, tu es peinard.

Les vêtements : ni trop, ni pas assez

La tentation, c’est de dormir habillé comme un oignon. Mauvaise idée. Trop de couches = transpiration = humidité = froid. L’idéal, c’est une première couche thermique respirante (genre mérinos), des chaussettes bien sèches, et un bonnet. Oui, même en été. 30% de la chaleur s’échappe par la tête, ça rigole pas.

Petit détail qui m’a sauvé plus d’une fois : change de sous-vêtements avant de te coucher. Même si tu crois ne pas avoir transpiré, tes fringues de la journée sont souvent légèrement humides. Et l’humidité, en montagne, c’est l’ennemi numéro un.

Utiliser une bouillotte improvisée

Astuce de grand-mère, mais qui fonctionne nickel : la bouillotte improvisée. Avant de te glisser dans le duvet, remplis une bouteille d’eau chaude (bien fermée évidemment) et cale-la au fond du sac. Ça te chauffe les pieds pendant des heures. Attention juste à ne pas utiliser une bouteille qui craint la chaleur, on veut éviter les fuites.

Le timing du coucher compte aussi

Ça peut sembler bête, mais se coucher complètement gelé, c’est galère. Avant de rentrer dans le sac, bouge-toi un peu : fais quelques mouvements, saute sur place, bref, active la machine. L’idée, c’est de réchauffer ton corps avant de t’enfermer dans ton cocon thermique.

Par contre, pas de sport intense juste avant le dodo, sinon c’est l’effet inverse avec la sueur et tout le bazar. Un juste milieu.

Fermer correctement la tente

Le vent, c’est traître. Même si ta tente est top, une fermeture mal tirée, un coin mal fixé, et tu te retrouves avec des courants d’air toute la nuit. Vérifie bien les ouvertures, tends bien les haubans, et si possible, choisis un emplacement un peu abrité. Sous un petit bosquet, derrière une grosse pierre… la montagne offre souvent quelques cachettes naturelles bien pratiques.

En résumé

Le camping en montagne, c’est le kiff total, mais faut pas jouer avec le froid. Entre le bon sac de couchage, une isolation au sol béton, des vêtements secs et quelques petites astuces de sioux, tu peux vraiment passer des nuits confort, même à 2000 mètres. Et franchement, y’a rien de plus magique que de se réveiller au lever du soleil, bien reposé, avec la montagne juste pour toi.

Alors, prêt à affronter les nuits fraîches sous les étoiles ?

Et si tu cherches des campings vraiment calmes, y’a d’ailleurs pas mal de bonnes adresses à dénicher sur https://www.camping-calme.fr. Tu verras, c’est une vraie mine pour ceux qui veulent fuir la foule.

Les Cévennes : des coins sauvages à couper le souffle

Alors là, perso, c’est un de mes gros coups de cœur. Les Cévennes, c’est pas encore l’invasion touristique comme dans les Alpes en plein été. Tu as des petites routes qui serpentent dans les gorges, des rivières parfaites pour se baigner (l’eau est bien fraîche, je te préviens), et surtout des campings familiaux ultra paisibles. Je pense par exemple au camping du Pont de Braye, à Saint-Agrève : une trentaine d’emplacements, des grands arbres, zéro animation bruyante. Juste le bruit des grillons et des chouettes la nuit. Magique.

La Creuse : le grand oublié du tourisme

Qui va en Creuse pour camper ? Pas grand monde. Et c’est justement ça qui est génial. Ici, t’as de l’espace, du vert à perte de vue, des petites rivières tranquilles. J’ai testé le camping de la Cazine, près de Noth : franchement parfait pour un week-end nature sans personne autour. Les emplacements sont hyper spacieux, et le matin tu te réveilles avec les vaches comme voisines. Plutôt sympa, non ?

Le Morvan : nature brute et lacs plan-plan

Le parc naturel du Morvan, c’est un peu la Bourgogne version sauvage. Les lacs d’Autun, de Settons ou de Pannecière sont nickel pour poser la tente. Niveau fréquentation, c’est raisonnable, même en plein été. J’aime bien le camping municipal du lac des Settons : simple, pas cher, et au bord de l’eau. Tu peux même louer un canoë pour la journée. Et puis les soirées au coin du feu, là-bas, c’est quelque chose…

Les Hautes-Alpes, version hors des sentiers battus

Évidemment, les Hautes-Alpes, tout le monde connaît Briançon et Serre-Chevalier. Mais si tu descends un peu vers le Buëch ou le Dévoluy, ça devient beaucoup plus calme. J’ai campé à La Jarjatte l’été dernier : 15 emplacements, un ruisseau qui passe juste à côté, et des montagnes tout autour. Franchement, ça ressemble à un décor de carte postale. En plus, les randos partent direct du camping. Royal.

Quelques conseils pour vraiment être tranquille

Un petit conseil perso : évite les ponts de mai, le 15 août et les grandes vacances scolaires si tu peux. Même les coins tranquilles peuvent vite se remplir. Et puis, regarde toujours la taille du camping avant de réserver. En dessous de 50 emplacements, en général, t’es plutôt peinard.

Alors, prêt à troquer le tumulte contre le chant des oiseaux ? Choisis ton coin, prépare la tente, et profite de la vraie nature, celle qui respire encore.

Méditation et yoga en plein air

Rien de tel que la tranquillité de la nature pour pratiquer la méditation ou le yoga. Trouvez un endroit calme, déployez votre tapis de yoga et laissez-vous bercer par les sons apaisants de la forêt ou du bord de lac. Ces pratiques sont idéales pour détendre votre corps et votre esprit, vous aidant à vous recentrer et à vous ressourcer. La respiration profonde et les étirements doux du yoga peuvent également aider à soulager les tensions musculaires accumulées. La méditation, quant à elle, permet de calmer l’esprit et de réduire le stress, offrant un moment de paix intérieure en harmonie avec la nature.

Lecture au bord de l’eau

Profitez de votre séjour en camping pour vous plonger dans un bon livre. Choisissez un endroit paisible, comme le bord d’un lac ou d’une rivière, installez-vous confortablement et laissez-vous emporter par une histoire captivante. La lecture est une activité relaxante qui permet de s’évader et de stimuler l’imagination. Emporter quelques livres ou une liseuse vous offre une excellente opportunité de vous détendre tout en profitant du cadre naturel.

Jeux en ligne pour les amateurs de casino

Pour ceux qui apprécient les jeux de hasard, jouer à des jeux de casino en ligne peut être une manière amusante de se détendre en camping. Les plateformes comme NoDepositCasinoBonus offrent une variété de jeux de casino accessibles depuis votre smartphone ou tablette. Vous pouvez profiter des bonus sans dépôt pour essayer de nouveaux jeux sans risquer votre argent. Cette activité peut ajouter une touche d’excitation à vos soirées au camping, que vous soyez seul ou entre amis. Assurez-vous simplement d’avoir une connexion Internet stable pour jouer sans interruption.

En conclusion, que vous préfériez des activités calmes comme le yoga et la lecture, ou des divertissements plus interactifs comme les jeux en ligne, il y a de nombreuses façons de se détendre en camping. Profitez de chaque moment pour vous ressourcer et créer des souvenirs inoubliables en pleine nature. »

Les îles Canaries et Kauai

Les îles volcaniques des Canaries, en Espagne, offrent des eaux cristallines et de magnifiques côtes. Que vous posiez vos valises à Lanzarote, à Grande Canarie ou à Tenerife, vous serez gâté, le temps est toujours beau. La météo vous annonce jour après jour du soleil, donc, couvrez-vous bien, enduisez-vous de crème protectrice et rendez-vous sur les plages idylliques ! Puisque vous êtes là, profitez-en pour gravir la plus haute montagne de tout le pays, toujours sous un soleil souriant. Sinon, Kauai, à Hawaï, est une autre destination ensoleillée que vous aimerez. Déjà, retenez ceci : cette île compte parmi les plus belles au monde et en plus, le soleil y règne. Savourez les plages isolées, les activités de plein air, les randonnées sur la côte de Na Pali.

En Algarve, au Portugal

L’Algarve est surtout connue et appréciée des touristes pour ses splendides plages entourées d’imposantes falaises de calcaire. Ses formations rocheuses dorées et ses eaux bleues émeraude offrent un spectacle éblouissant et impossible à oublier. Tout ce merveilleux paysage est encore plus admirable sous le soleil, ce qui ne manque pas dans cette région. Pour découvrir quelques-unes des plus belles plages de l’Algarve, direction la ville côtière de Lagos. Gardez de précieux souvenirs de votre séjour ensoleillé en prenant des photos à la Praia da Marinha. Pour une petite parenthèse aventure, cap sur Carvoiero et sa plage nichée à l’intérieur d’une grotte.

Séquoia Parc

Situé à Saint-Just-Luzac, Séquoia Parc est un camping à 5 étoiles. Il est aménagé avec des cottages, des mobil-homes et des chalets autour du château de Josephtrie. Le camping propose trois bassins chauffés extérieurs avec des cascades, des toboggans, des jets d’eau, etc.

Par ailleurs, il dispose d’un centre de bien-être pour pouvoir profiter de piscines intérieures, d’un bain bouillonnant, d’une douche sensorielle et bien d’autres encore. Vous pouvez également vous dépenser dans la salle de sport et le solarium sur le toit-terrasse pendant que vos enfants visitent la mini-ferme et le centre équestre. Deux clubs enfants leur sont également dédiés pour faire des travaux manuels.

Récemment, Séquoia Parc a rénové les sanitaires et a ajouté deux villages piétons et une aire de jeux avec tyrolienne.

Les Tournels

Le camping de luxe Les Tournels se trouve à Ramatuelle, à proximité de la Baie de Saint-Tropez. Il dispose d’hébergements confortables se présentant sous forme de chalets et de cottages. Certains vous offrent une vue sur la mer ou sur le Vignoble. Si vous ne souhaitez pas vous y loger, vous pouvez installer votre tente ou votre camping-car à flanc de colline.

Par ailleurs, les piscines chauffées du camping conviennent à la fois aux tout-petits et aux adultes. Profitez également des banquettes, d’un chemin massant, d’un jacuzzi, de spas et de saunas autour des bassins. Des séances d’aquagym, de fitness et de réveil musculaire sont aussi proposées à l’intérieur. De plus, vos enfants peuvent profiter des spectacles et des divers jeux organisés dans les clubs. Les grands peuvent s’amuser en assistant à des comédies musicales ou en se rendant à la discothèque en fin de soirée.

Le Petit Nice

Le Petit Nice est un camping à 4 étoiles au Pyla-sur-Mer qui vous offre une vue magnifique sur le bassin d’Arcachon. Outre la piscine chauffée et le petit toboggan, il dispose de mobil-homes haut de gamme, de roulottes et de tentes, tous aménagés et équipés. Il existe également un emplacement dédié où vous pouvez étaler votre tente ou garer votre camping-car.

Pendant la journée, baignez vous à la plage à proximité et profitez d’une vue sur la réserve naturelle du banc d’Arguin. N’oubliez pas non plus de vous initier au quad, au surf et à la plongée sous-marine. Un terrain multisports, un château gonflable et des clubs sont aussi à la disposition des enfants. En outre, une virée au marché nocturne est organisée après le dîner et les spectacles dans les bars et restaurants.

Le Grand Large

Le camping Grand Large sur la pointe de Mousterlin vous permet de profiter d’un séjour en bord de mer. Il dispose d’un vaste emplacement de camping pour pouvoir installer les tentes et les camping-cars. En outre, plusieurs mobil-homes avec terrasses et salons de jardin sont à votre disposition pour plus de confort. Des toboggans sont aussi présents dans ce camping aquatique dont un Spacebowl. Une piscine couverte, une piscine en plein air et des aires de jeux sont également à disposition des clients.

Dans les clubs des enfants, des ateliers culturels et une initiation à la pêche à pied sont proposés. Quant aux clubs des adolescents, des concours de Wii et des barbecues party sont organisés. Par ailleurs, les adultes peuvent profiter de séances d’aquagym, d’équitation et de sports nautiques. Dans la soirée, le camping organise des jeux, des cabarets et des karaokés.

Le Ruisseau

Le Ruisseau est un camping avec parc aquatique à 5 étoiles qui se situe au Pays Basque. Il dispose d’un vaste domaine fleuri pour pouvoir installer les tentes et les camping-cars. Il est entouré par les plages de Bidart et par des lacs aménagés pour la pêche. Si vous cherchez du confort, installez-vous dans l’un de ses mobil-homes, chalets ou bungalows. Pour cela, les Euskadi Lodge, les EcoLodge et les cottages équipés de jacuzzi privés sont les plus appréciés.

Par ailleurs, la piscine chauffée et couverte est entourée par plusieurs toboggans et une grande pataugeoire ludique. Le Ruisseau dispose également d’un centre de bien-être où des séances de sauna, de hammam, de spa, de transat massant, de balnéo chauffé sont proposées. Des tournois sont également organisés dans les terrains de sports, dans le mini-golf et dans les courts de tennis. Les enfants peuvent passer leur temps dans un mini-club pour visiter la mini-ferme et pour s’amuser dans les différentes aires de jeux. Pour clôturer la journée, ne ratez pas les soirées dansantes dans les bars et restaurants.

De nombreux autres campings avec parc aquatique au Pays Basque peuvent vous accueillir.
À vous de choisir celui qui vous convient dans la région. En effet, le Pays Basque est une destination balnéaire et culturelle par excellence.